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Appât du gain. Source : http://data.abuledu.org/URI/534fd3d7-appat-du-gain

Appât du gain

Grandville (1803-1847), "Cent Proverbes", 1845, "Pour de l'argent, les chiens dansent" : Quatre personnages entre chiens et hommes sautent sur place en contrebas d'une fenêtre à l'étage, où est accoudé un homme avec des pièces d'argent et un sac "Gratification".

Armoiries de la Colombie. Source : http://data.abuledu.org/URI/5379b48c-armoiries-de-la-colombie

Armoiries de la Colombie

Armoiries de la Colombie. Le Condor des Andes, en plus d'être l'emblème national, symbolise la liberté ; il est représenté de face, avec les ailes déployées et regardant vers la droite ; une couronne de lauriers pend depuis son bec. Sous le Condor, on peut voir, sur une ceinture d'or, la devise officielle du pays : "Libertad y Orden" = Liberté et ordre. Dans le tiers supérieur du blason, sur un fond d'azur, on peut voir une grenade d'or ouverte, qui fait référence à la Nouvelle-Grenade, nom que le pays a porté au XIXe siècle. Sur les côtés se trouvent deux cornes d'abondance : celle de gauche est remplie de pièces de monnaie d'or et d'argent et celle de droite de fruits tropicaux. Ces cornes symbolisent la richesse et l'abondance du sol du pays. Dans le tiers central, sur un fond de platine, une barretina, reposant sur un bâton d'or, qui rappelle l'esprit de la république mais aussi un symbole de liberté. Dans le tiers inférieur, sur la mer, deux navires avec les voiles déployées : un pour l'océan Pacifique, l'autre pour l'océan Atlantique, car la Colombie est le seul État sud-américain à être bordé par ces deux océans. Les voiles déployées représentent le commerce mondial de la Colombie. Le blason est en fait daté à cet égard, le Panamá ayant depuis lors, en 1903, fait sécession, privant la Colombie de l'isthme du même nom. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Armoiries_de_la_Colombie

Fleuve Gediz en Turquie. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b105c7-fleuve-gediz-en-turquie

Fleuve Gediz en Turquie

Fleuve Gediz en Turquie, connu sous le nom d'Hermos. L'Hermos est présenté comme l'un des 25 fils de Téthys et d'Océan, cités par Hésiode dans sa Théogonie, où il relate la création du monde : « Téthys à Océan enfanta les fleuves tourbillonnants : Nil, Alphée, Éridan aux tourbillons profonds, Strymon, Méandre, Istros aux belles eaux courantes, Phase, Rhésos, Achéloos aux tourbillons d'argent, Nessos, Rhodios, Halliacmon, Heptaporos, Granicos, Aisepos, le divin Simoïs, Pénée, Hermos, et Caïque au beau cours, le grand Sangarios, Ladon, Parthénios, Événos, Ardescos et le divin Scamandre. » Son affluent, le Sart Çayı ou Pactole, est célèbre pour la légende grecque, disant qu'il charriait des paillettes d'or. Midas était le roi de Phrygie, royaume d'Asie mineure situé entre la Lydie et la Cappadoce. Une histoire raconte l'aventure arrivée au vieil ivrogne Silène. Celui-ci, suivant une procession en l'honneur du dieu de la fête et de l'ivresse Dionysos, se perdit près du palais royal. Midas et ses gardes le retrouvèrent assoupi et le roi lui offrit de rester quelques jours au palais avant de le rendre à Dionysos. Le dieu récompensa le roi en lui accordant un souhait. Midas demanda que tout ce qu'il touche se transforme en or. Incapable de manger et de boire, il supplie le dieu de reprendre son présent. Dionysos lui ordonne alors de se laver les mains dans les eaux du Pactole, dont le sable se change en or. Cette légende explique le caractère aurifère du Pactole, auquel la Phrygie doit une bonne partie de son empire. Les ressources du Pactole étaient déjà épuisées avant le Ier siècle selon le témoigsnage du géographe grec Strabon (57 av. J.-C.-entre 21 et 25 ap. J.-C.). L'électrum a été utilisé dans l'Antiquité pour frapper les premières monnaies. Les sources littéraires montrent que les Lydiens, fréquemment présentés comme les inventeurs de la monnaie, disposaient grâce au fleuve Pactole d'une source d'or naturel. Les fouilles américaines à Sardes ont confirmé l'existence d'une métallurgie de l'or et de l'argent : elles ont mis au jour des installations permettant d'obtenir par coupellation de l'électrum à partir des pépites d'or locales.

Presse à balancier de 1831. Source : http://data.abuledu.org/URI/538efc65-presse-a-balancier-de-1831

Presse à balancier de 1831

Presse à balancier de 1831 en fer, bronze et acier, installée à l'hôtel des monnaies royal de Madrid en 1832. Invention de 1803 par Philippe Gengembre (1764-1838), fabriquée en 1831 par J.F. Saulnier d'après les inscriptions. Ce modèle porte le nom d'Austerlitz parce que les premières presses ont été fabriquées en fondant les canons russes capturés après cette bataille. Hauteur 77cm, Largeur 40cm. Lieu de conservation : Musée archéologique de Madrid. La frappe au balancier ou frappe au moulin est une technique utilisée pour frapper les monnaies par pression, inventée au XVIe siècle : le balancier se présentait comme une presse agissant par percussion du flan par les coins au moyen d'un arbre posé sur un socle, portant une vis et muni de deux bras d'acier, qui étaient prolongés par de lourdes boules de plomb et actionnés par 8 à 12 hommes au moyen de courroies attachées à des anneaux à l'extrémité des barres. La vis portait le coin mobile qui venait frapper le flan posé sur le coin fixe. Les équipes se relayaient tous les quarts d'heure tant le travail était pénible et fatigant. Le rendement du procédé était de 30 monnaies à la minute. Le procédé a permis la fabrication des monnaies françaises entre 1640 et 1830 environ, avant d'être remplacé par la frappe au levier. Il a produit les plus beaux documents de la numismatique française : en particulier les louis d'or et les écus et divisionnaires d'argent de Jean Warin et Isaac Briot produits entre 1640 et 1645. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Frappe_au_balancier

Tétradrachme athénien en argent. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c64278-tetradrachme-athenien-en-argent

Tétradrachme athénien en argent

Chouette debout sur une amphore couchée. Tétradrachme d'argent athénien du « nouveau style » (monnayage stéphanophorique) (v. 200-150 av. J.-C.). Cabinet des médailles de la Bibliothèque nationale de France. L'activité des mines du Laurion a repris dans la deuxième moitié du IIe siècle, peut-être en lien avec la relative prospérité de la cité après que Rome lui eut remis l'importante place commerciale qu'était alors Délos. L'apparition à cette époque de belles monnaies athéniennes « New Style » et les révoltes d'esclaves qui nous sont signalées à la fin du IIe siècle et au début du Ier siècle av. J.-C. témoignent que l'argent continue à être extrait du Laurion à l'époque hellénistique, même s'il ne constituait sans doute alors qu'un appoint au métal utilisé pour le monnayage et si son exploitation restait marginale en comparaison de l'époque classique. Au verso de cette monnaie, tête d'Athéna casquée.

Tétradrachme d'Athéna en argent. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c64ca1-tetradrachme-d-athena-en-argent

Tétradrachme d'Athéna en argent

Tête d'Athéna portant un casque à cimier. Tétradrachme d'argent athénien du « nouveau style » (v. 200-150 av. J.-C.).